• En route...

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  • Voilà, on part demain !

    Et lundi... ce sera la première rentrée de ma vie !!

    Il paraît que quand maman a pensé à ça, la première chose qu'elle s'est dit, c'est que je n'avais jamais eu de prof en face de moi (c'est vrai aussi !)...
    Y'a une première à tout !

    Du coup, dernières petites courses pour cet après-midi, comme les fournitures que je devrais avoir pour lundi, et un parapluie ^^'.

    Mes affaires tiennent dans 2 cartons et 2 sacs de voyages (il faut que je case quelque part mes DVD d'Hitchcock et d'Hercule Poirot quand même !).

    Lundi, debout avant l'aube, il faut faire 110 km pour m'amener à l'université, prévoir au moins 2 h de trajet, et je dois y être à 8 h 15 précises... Donc, je suis levée à 5 h !
    Le Crous a appellé, on devait leur retourner un dossier, mais ce n'était écrit nulle part (). Du coup, papa et maman amèneront le dossier bien complet pendant que je bosserai, et me monteront mes cartons là-haut, et l'après-midi, me feront mes courses...

    Un peu d'appréhension, on sera un groupe de 10, mais je ne sais pas sous quelle forme ça va se dérouler ni comment... j'ai jamais vu un prof de ma vie, je ne sais pas si je comprendrais son "cours express" (j'ai jamais étudié que sur des livres !), à part ça, touuuuut va bien .
    Le tout conclu par un examen qui comptera dans mes notes de maths de première année... bref !

    Restons zen ... Ça va bien se passer, j'y crois ...

    Je vous donnerai bien sûr des nouvelles, normalement (si je ne me suis pas perdue entre l'université et ma piaule ! mais j'ai un plan et je ferai bien attention, promis ), j'aurais accès au réseau de l'université depuis ma chambre ^^.

     

    (et j'ai programmé un billet pour demain, ayez une pensé pour celle qui sera pendant 5 h dans la voiture ^^)

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  • Ah, tiens, voilà ce que je voulais partager, suite au billet de Pioupiou sur son blog, à propos des arnaques en grandes surfaces.
    Elles sont en effet nombreuses à nous promettre dès l'entrée du magasin des offres incroyables, style "3 paquets de pâtes pour le prix de 2". Quand on va dans le bon rayon, on s'aperçoit alors que pour cette occasion les prix de la pseudo « offre spéciale » ont été gonflés ;-).

    Là, c'est pas tout à fait pareil cependant. Il y a trois semaines, on va faire nos courses (dans un discount). Je cherche du film étirable de cuisine pour la maison. Bon, il n'y en a pas. Tant pis.

    Je jette un oeil aux promotions des produits autour.  Par curiosité, v'là t'y pas que je regarde les anciens prix, restés en dessous des nouvelles étiquettes.
    SIC !

    Prix sans promo au EDPrix avec promo ED

    On profite d'une promotion pour faire gonfler le prix réel de 20 cents . M'est avis que la personne qui a changé les étiquettes de prix a oublié de retirer les anciennes  !

    Prix sans promo au ED (2)Prix avec promo ED (2)

    Même le prix en promotion est plus cher que l'ancien "vrai" prix ;-) !
    En tout cas, l'augmentation ne passe pas discrètement...

    Voilà... il me semble que dans ce cas, le consommateur peut faire valoir l'ancien prix, mais comme on n'en avait pas besoin...

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  • ... de ma préparation !

    Qui dit expatriation (euh, non, aux dernières nouvelles, je reste en France !) exil , enfin, études lointaines, dit : faut s'équiper !

    Alors, non, chers lecteurs, je ne pars ni au fin fond du trou du Canada, ni en plein bush australien (mais j'aimerais bien pour voir), ni en Sibérie. Certes. Certes.

    Étant donné que je vais passer pas mal de temps à chaque fois sans pouvoir rentrer chez moi (comprendre : sans utiliser la machine à laver de la maison ;-) ), il me faut un petit stock de vêtements déjà !

    C'est pourquoi avec grande soeur, j'ai utilisé ce créneau annuel que sont les soldes (si - incroyable - moi - les soldes ! - ou incroyable, tout court, moi, chercher à acheter quelque chose !)... En même temps je suis tellement « radine » (non, é-co-no-me ! oui, économe, c'est exactement le terme) que j'ai sauté sur l'occasion. Enfin, plutôt non : j'aurais catégoriquement refusé de me nipper hors-soldes, c'est plutôt ça (tout est cher, même ce qui est le plus basique, même pendant les soldes !) ...

    Du coup, j'ai acheté soit ce dont je n'avais pas suffisamment (ou pas du tout). Tee-shirts à manches longues (j'ai ce qu'il faut côté manches courtes, avec mes 2 polos, mes 2 autres ticheurtes ;-) ), chemises (oui, mes tee-shirts blancs à manche courtes que j'ai depuis au moins 3 ans, j'en ai maaaaarre ! ze veux des chemizes ), jeans (mais il faut que je prévois d'en racheter un quand même...), pull et gilets (légers malheureusement, soldes d'été oblige ! je verrai en septembre si j'ai besoin d'un vrai pull un peu plus chaud quand même !).
    Faudra juste me mettre en quête d'une paire de chaussure imperméable , car aucune des deux que j'ai ne l'est... et c'est plutôt recommandé d'en avoir là-bas ! Et puis, le parapluie .

    Du coup, mes vêtements sont arrivés au début du mois. Ça va, pas de défaut noté.
    Du coup, tout doit passer à la machine avant première utilisation. Y'avait un imprévu. Moi, j'ai résonné en fonction de mes besoins, et du prix.
    On m'a gentiment appris que le mohair (mais il était à 3 € !) ne se lavait certainement pas à 40°C, que le bleu paon vif (mais l'autre tee-shirt du lot était beige, à - 80 % !) était justement un peu trash pour être lavé avec autre chose, et que le drap de bain orange vif - oui, très vif aussi - ça passe pas avec le reste.
    Bref, y'a encore des choses à apprendre à remarquer hum hum...


    ~.:.~ La saga du sac ~.:.~


    Ah oui, et aussi.
    Je suis une réfractaire catégorique de cette chose qu'on appelle sac à main. Mais si, vous savez quoi !
    Ce truc que les filles portent sous leur bras, qui prend des proportions parfois considérables (à se demander si parfois, elles n'ont pas carrément une mini-valise sous le bras des fois qu'il y aurait une guerre - comment ça j'exagère ?) alors que ça ne contient que pleins de trucs inutiles - ou presque, enfin, que je considère comme inutiles. La preuve : les hommes ne se trimballent pas avec un sac à main, eux (à la rigueur, ils ont une sacoche, ou un petit sac à dos).
    Bref. Moche. Gros. Qu'on est obligé de tenir avec la main, donc, pas pratique (comprendre : moins pratique qu'un vrai sac, c'est-à-dire : un sac à dos).
    Et les besaces, non merci non plus, c'pas bon pour le dos quand c'est chargé (chuis difficile, hein ?).
    Pour résumer : moi = pas ça.
    Oui, je peux être , je sais, je sais ...
    Mon idéal, ce serait tout dans des poches intérieures d'un manteau . Comme ça, pas besoin de se trimballer avec un sac, point barre.
    Déjà, il y a un peu plus d'un an, avant mes épreuves anticipées de français, Maman m'avait déjà dit qu'il faudrait un sac style sac à main ou une besace pour mes épreuves. Ça va pas la tête !? Moi !? Ça ?? En plus, c'est trop gros les besaces et les sac à main ! Bref, je lui ai gentiment fait comprendre que non, le sac à main ne passera pas par moi...

    Finalement, je me suis décidée mi-juillet à ceci : un petit et un gros. Quésako ?
    Ben ça : un mini sac pour le strict minimum (papiers, cartes, porte-monnaie et téléphone —> rien d'inutile quoi ;-) ) à tenir à portée de main. Et un sac à dos pour les affaires de travail.
    Et ma sacoche d'ordinateur aussi pour quand j'en aurai besoin.

    Mon nouveau z'ordi est d'ailleurs arrivé, bôô il est :-)).
    Bon, autonomie moyenne certes (2 h). Mais ordi (de qualité voui voui) + sacoche (au demeurant tout à fait correcte pour le prix) = à un prix imbattable (oui, ze zuis la zampionne des z'affaires ! - nan, en fait, c'est grâce à mon papa - vous connaissez les ordis neufs mais pas neufs ?).
    En fait, j'ai moins emputé mes économies que prévu du coup (mais je ne vais pas m'en plaindre !).

    Bref, manque plus qu'un virement de mon compte à celui de papa-maman, et je pourrai clamer...

     

    Question organisation, je pars le dimanche 28 août avec mes parents chez ma soeur, pendant qu'elle gardera les « petits » à la maison.
    Le lendemain, ils iront me « libérer » ma chambre pendant que je travaillerai 2 heures le matin et autant l'après-midi.
    Normalement, au soir, j'aurais plus qu'à m'installer dans ma chambre de 9 m², et j'y compte bien ;-). Je n'ai pas envie de me taper deux heures de trajets par jour, ni de ne pas dormir parce que papa ronfle  .

    Voilà !

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  • Depuis toute petite (je dirais, depuis que j'ai 7 ou 8 ans), je veux être vétérinaire.
    Peut-être à cause de Daktari ? ... Mais passion immodérée pour les animaux + intérêt vivace pour la médecine, ça a peut-être joué (beaucoup) aussi ;-).
    Je ne saurais pas vraiment dire l' « essence » de la chose, le pourquoi, ... mais j'aurais sans doute un jour les réponses ;-) ?
    Depuis le temps, j'ai quand même eu l'occasion de me renseigner sur les différentes facettes du métier, et non je ne « fantasme » pas non plus bêtement dessus comme une gamine, je vous rassure ;-). Je sais que c'est un métier pas toujours rose, et difficile. Mais c'est ce que je veux faire. Vraiment.

    Tant qu'à faire, puisque ce blog est censé me suivre le long de mes études supérieures, autant vous dire comment en France, on devient vétérinaire... quand on le devient.

     

     Alors, en France, la formation vétérinaire est délivrée par des « Grandes Écoles ». Les écoles nationales vétérinaires (ENV) sont au nombre de 4 ; il s'agit de Lyon (la plus ancienne, dénommée VetAgro Sup après sa réunion avec l'Enita qui forme des agronomes), Maisons-Alfort (ENVA, site), Nantes (site) et Toulouse (ENVT, site).

     L'accès à ces écoles se fait par concours national, réputé très difficile ; chaque année, le Ministère de l'Agriculture détermine le nombre de places qui seront pourvues.

     La majorité des étudiants sont issus des CPGE = classes préparatoires aux Grande Écoles.
    En deuxième année de prépa mention BCPST (euh... ça veut dire « Biologie, Chimie, Physique et Sciences de la Terre », comme ça, j'apprends des choses en même temps que vous !) et TB (Technologie Biologie), ces étudiants passent le concours A. Ils sont environ 200 candidats à accéder finalement aux ENV.

     On peut aussi passer par l'université.
    On peut se présenter au concours B en deuxième année de Licence (L2) de Biologie, SVT...
    Ils sont environ une quarantaine à être pris par ce biais, sur 200 candidats qui se sont présentés.

     Le concours C est ouvert aux BTS, BTSA, et DUT, mais les places sont encore plus rares.

     Enfin, le concours D est ouverts aux titulaires d'un doctorat (soit de de médecine, de chirurgie dentaire, ou de pharmacie), ou d'un master de Biologie (quelques places seulement).

     On ne peut passer le concours que 2 fois (peu importe le type de concours : A, B, C ou D, c'est pareil !). Après, c'est fini.

     Pour ceux qui décrochent leur concours, ça y est.
    Selon l'ordre de leurs voeux et leur classement au concours, ils sont dispatchés dans les 4 ENV.

    A l'intérieur des ENV, le parcours est le suivant.
    Cela débute par 4 années de tronc commun avec stages obligatoires, au terme desquelles les étudiants sont censés obtenir le DEFV (Diplôme d'études fondamentales vétérinaires). C'est l'équivalent du grade de Master.

    La 5e année est dédiée à la pré-spécialisation parmi une des 6 dominantes du parcours pédagogique : animaux de compagnie, de rente/reproduction (ou mixte : compagnie et rente), équidés, santé publique vétérinaire, recherche, industrie, au choix. Cette année est conclue par la soutenance d'une thèse d'exercice vétérinaire, qui donne le titre de Docteur vétérinaire.

    À partir de là, on peut soit commencer à exercer, soit poursuivre ses études au sein de l'ENV ou d'une université par le suivi d'un enseignement supplémentaire, qui peut durer de 1 à 3 ans :
    - Résidanat (3 ans)
    - Internat (1 an
    - diplômes de spécialisation, soit un Certificat d'étude approfondies vétérinaires en 1 an, ou diplôme d'études supérieures vétérinaires en 3 ans.
    - thèse d'université (3 ans).

    En tout, c'est un parcours d'au moins 7 années d'études après le baccalauréat (scientifique).


    Quant à moi...

    Pour accéder à une classe prépa, il faut un dossier scolaire (que je n'ai pas, ayant été non-scolarisée pour mes années « lycée »). D'un côté, ce peut être un choix aussi... Je ne sais pas si un retour au lycée m'aurait été très profitable ! J'ai déjà un peu de mal avec la mentalité générale des jeunes scolarisés que j'ai rencontrés... à de rares exceptions, j'ai été déjà pas mal catastrophée j'avoue .

    Donc, université. L'université où je vais propose en deuxième année le Licence (L2) de Biologie-Biochimie un cursus de cours supplémentaires afin de préparer le concours B.
    Pour accéder à ce parcours, les (quelques !) étudiants sont sélectionnés en fonction de leur résultats du bac (euh, une année d'avance, ça compte ?) et ceux de première année de Licence (L1).

    Si jamais je n'arrivais pas à réussir le concours vétérinaire ma foi... en Belgique, la formation vétérinaire passe par un cursus universitaire (pas de « grandes écoles » et tutti cuanti), à Liège je crois.
    Devant l'afflux d'étudiants non belges à demander à suivre cette formation en Belgique, les universités ont instauré des quotats d'étudiants étrangers, ceux-ci étant ensuite choisis par tirage au sort. Mais étudier à l'étranger signifiera que je devrais aussi travailler à côté de mes études. Et si jamais je décidais de suivre cette voie, cela résonnerait quand même pour moi comme la perte de 3 ans d'études de Licence en France...
    Voilà, c'est aussi une option à envisager...

     

    Prochainement, je vous ferai partager mes (petits) doutes et mes remarques amusantes (pour moi ! pour vous, on verra bien ^^)... à propos de l'université.
    Mais ne vous inquiétez pas pour moi, j'ai pas peur (mamannnnnn !) !

     

    PS : désolée si quelques fautes se sont égarées, j'écris ce texte alors qu'il est un peu tard... je me relirai demain matin, promis !

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  • Savez-vous ce que peut-être ceci ?

    Un cadeau...Mais si, cherchez !

    Un chapeau de lutin me direz-vous ? un énoooorme dé à couture ? un mini-sac de farine pour souris multicolore ? Non, non, non.

    Ceci devrait vous mettre sur la voie :

    Un cadeau...(pas l'ordinateur, hein, mais ce qu'il y a dans ma main !)

    Alors, la solution...

    C'est un porte-clé, fait, et offert par ** Plouf ** !

    Crocheté avec mes couleurs préférées...

    En plus, très ingénieux !
    Grâce à la languette (également crochetée) que l'on voit sur la première image, la clé peut « coulisser » de l'intérieur vers l'extérieur (et vice-versa), en restant dans son étui lorsque l'on en n'a pas besoin. Comme ça, pas de clé qui abîme ce qu'il y a dans le sac (et on la retrouve plus facilement) !

    En plus, travail de pro, il n'y a rien qui dépasse, rien de rien !

    Alors, moi, je dis : merci Plouf !! J'adore  !

    (et comme ça, je ne risque pas de perdre mes clés !)

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