• Dans une salle de TD surchauffée (car extrêmement mal isolée et déjà occupée la matinée par un autre groupe. Miam les bonnes odeurs) :

    « Les animaux domestiques [oui, on voit la domestication notamment à des fins d'élevage en TD] réunissent plusieurs caractéristiques parmi lesquelles, le fait d'être des animaux sociaux et d'avoir une bonne tolérance à l'Homme, indispensables à l'élevage.
    C'est d'ailleurs pour cela que le chevreuil n'a pas pu être domestiqué et élevé en captivité, car il devient très agressif envers ses congénères et envers l'Humain pendant la période de reproduction
    ».

     

    Derrière moi :

    « Mais, on n'a pas essayé de les castrer ? ».

    ...

    Comment dire sarcastic...

    Perle de bio (en Master 1, hein)

     

     

     

    Nooooon, on ne me castrera paaaaas !

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  • J'ai été trèèèèèès déçue aujourd'hui.

    Non pas par mon nouveau dentiste (fort charmant au demeurant, enfin un type à la taille correcte pour qu'on puisse lui parler dans les yeux sans avoir à se coincer la nuque), mais ça.
    Car voyez vous, c'est fini cry (sortez les violons)

    C'est en allant m'acheter du fil dentaire à 3,50 € (oui, et les pires choses ont un début, maintenant en plus de mon bordel habituel je vais certainement retrouver des fils dentaires usagés un peu partout chez moi intello...) assorti de mon habituelle boîte de patchs de drogue hormonale, la facture est passée de la trentaine d'euros attendue à la... quarantaine bien frappée oh.

    Car, OUI, en l'espace de deux mois dans cette pharmacie, le tarif de cette petite chose qui m'est indispensable a bondi de dix euros tout rond (non remboursée bien sûr, sinon ce serait pas drôle). À cause du fournisseur paraîtrait-il.

    Bref, devant la note présentée, Nanou a seulement fui avec son fil dentaire (réglé, lui).

    Elle a erré, hagarde, tout droit.
    Elle est entrée dans une officine (oui, là, j'utilise un vieux mot parce que tout est vieux. Les herbes, le comptoir, la dame, l'ordinateur, le scanner. Bon, mais je ne pousserai pas le vice jusqu'à dire que même les préservatifs en rayon avaient l'air usagé) aux étagères à moitié vides. Et visiblement, les stocks aussi. C'était une pharmacie pour laquelle on ne pouvait pas pas me donner le tarif de ma boîte, vu que l'article n'y est tout simplement pas vendu.
    Du coup, je suis rentrée dans une autre pharmacie. Neuve. Enfin, récente. Où je n'ai pas pu avoir mon tarif non plus vu que, bug informatique oblige, impossible de consulter les prix (et de délivrer des médicaments).
    J'étais maudite beurk.

    Les hormones en peine et le cœur en bandoulière, prêt à adopter n'importe quelle nouvelle pharmacie au tarif pas prohibitif (ouais, j'ai des exigences quand même), je suis donc rentrée vers une pharmacie près de chez moi sur la ligne du bus (j'en aurai grillé des tickets aujourd'hui...).

    Et bien. Miracle ! Hallelujah ! ma miraculeuse boîte, une trentaine d'euros et quelques poussières seulement. J'ai trouvé ma nouvelle pharmacie, il faudra que j'aille y refaire mon stock mi-mars money

     

     

    N'empêche, ça m'a tellement stressée la fraise sur les dents de devant que j'en ai les abdominaux tout contractés (tiens, ils existent encore ceux-là...).

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