• L'aut' nuit, j'ai rêvé...

    Cette nuit j'ai rêvé

    L'autre nuit, j'ai rêvé qu'une mystérieuse épidémie mondiale s'abattait sur le monde. Si, le ciel était noir en plus, il faisait moche, c'était la panique, tout le monde tombait malade subitement et on savait pas pourquoi.

    Du coup, on est allés (moi et quelqu'un d'autre, mais je sais plus qui – est-ce que je le savais au moins ? c'est affreux, je me baladais avec quelqu'un et je sais même pas qui c'était...) dans un giga-supermarché dont l'extérieur ressemblait au Stade de France (attention, c'est la seule et unique fois que vous verrez le Stade de France mentionné sur ce blog).
    Devant, il y a avait un type avec un micro bleu pour faire rentrer les gens, et c'était notre prof de Biologie animale de l'année dernière (celui que je suis allée voir deux fois en conférence).
    J'étais passée en clamant que c'était quand même le meilleur prof qu'on n'ait jamais eu l'année dernière (mais qu'est-ce qui te prend Anne, voyons, de dire ça tout haut comme ça ?!), ce qui est vrai de toute manière.
    Ensuite, on était allés dans le rayon à moitié vide "Gants de prophylaxie et mouchoirs" (mais pourquoi les mouchoirs ? pourquoi pas plutôt des masques ?) et j'ai fait un drame parce que ce qu'on allait acheter n'était pas stérile, tous les paquets étant à moitié éventrés (?!). Car un peu plus tôt, j'avais décrété devant un enfant nouvellement tombé malade qu'il ne fallait utiliser que du matériel stérile, pour éviter au maximum les contaminations entre les gens jusqu'à ce qu'on sache d'où venait la mystérieuse maladie. Et je m'embarquais dans des suppositions pour essayer d'expliquer très doctement* comment et pourquoi ça se propageait. Je crois, sans en être certaine cependant, que l'enfant s'était subitement transformé en cochon, sous les regards éberlués de la concierge Rosa.

    Bref, tout ceci était très bizarre.

    * blouse blanche et doigt en l'air

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