• Je mets ça ici, comme ça, parce que ça me fait une espèce de feed-back.
    Et puis, vous, ça peut vous cultiver (on sait jamais )

    Pour vous mettre dans l'ambiance, la première partie de notre cours portait sur la présentation de l'histoire des sciences, le second sur la théorie cellulaire.

    Le prof qui nous fait ça adore s'entendre parler. Si si. Je le verrai bien à la télé d'ailleurs. Psychorigide, il nous a prévenu, « psychiquement faible » (mon oeil !), s'il y a le moindre bruit dans l'amphi, ça risque « d'atteindre [son] psychisme et de [le] rendre très désagréable ».

    J'adore, c'est marrant ^^.

    Mais, qu'est-ce que c'est bien de pouvoir suivre un amphi dans un silence de morts religieux total !!

    Mais le truc qui m'a le plus scotchée, c'est qu'il nous a annoncé qu'il nous prodigerait en 24 h de cours l'équivalent que ce qu'il fait en... 10 h aux prépas médecine !
    (c'est dire, comme ils doivent carburer comme des malades ).
    Même contenu, mais on a le droit à beaucoup plus d'anecdotes, de petites histoires (et quelques envolées  !).

    Un cours bien ; comme en mécanisme de l'évolution (méca de l'évolution pour les z'intimes), comme en algo, c'est un cours que j'arrive à prendre en notes « proprement » et que je n'ai pas besoin de recopier (sinon, j'aurais du mal à m'en sortir).

    Donc, à ma connaissance, le prof nous a en gros donné 21 noms (plus le contexte et tout).

    Lire la suite...

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  • Il neige.

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  • Figurez vous que notre - nouveau - prof de chimie de TD est **super** ! Voui !!!

    Édition le 2 février 2011

    I love l'entropieL'entropie, c'est une notion de chimie qui décrit l'état de l'ordre (ou plutôt du désordre) de l'ensemble des éléments d'un système (de thermodynamique, parce qu'on étudie la thermodynamique).

    Grosso modo, l'entropie d'un (système composé de) gaz (où par définition c'est le grand bazar) est plus grande que l'entropie d'un liquide, lui même ayant une entropie plus importante qu'un solide (qui est, lui, bien rangé).
    C'est chimiquement logique.

    L'entropie est naturelle (et sa variation - négative - indique le sens de spontanéité d'une réaction). Parce que l'entropie de l'univers ne cesse d'augmenter (oui, moi, je trouve pas pas logique... ça voudrait dire que l'entropie de l'univers tend vers l'infini ?).
    Pour que l'entropie diminue, il faut une transformation dont on force le sens.

    Quand votre téléphone se décharge, c'est son entropie qui augmente (et la réaction s'effectue dans son sens spontané). Quand on la force à se recharger, c'est son entropie qui diminue (la réaction ne se fait pas dans son sens spontané, mais dans le sens inverse).

    Bon sortons un peu de la chimie.

    Je crois que j'ai trouvé ce qui définissait ma chambre. On pourrait faire une analogie.
    Au départ elle est solide (= bien organisée), mais au fil des actions transformations, ça devient plus le bazar (l'entropie augmente). Je crois que je peux considérer qu'elle vient d'arriver à l'état liquide. Bientôt, ce sera gazeux.

    L'entropie aura super augmenté mouahahahahah !
    Mais va falloir la faire diminuer un de ces quatre (= faudra que je m'oblige à la ranger un jour avant d'atteindre un stade critique).

    Étant donné que pour le moment c'est mon cerveau qui est dans le gaz (il est 22 h 29), je me permets de vous dire bonne nuit .

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  • Présenté lors du Festival de Cannes 2008, Valse avec Bachir est à la fois un long-métrage animé et un documentaire, qui a été récompensé par de nombreux prix à travers le monde.
    Co-production franco-germano-israëlienne, ce film met en scène un personnage réel, le propre réalisateur du film Ari Folman, à la recherche de ses souvenirs en tant que militaire... pendant la guerre du Liban.

    Le personnage principal est surpris, lorsqu'un ami lui confie qu'il ne cesse de faire le même cauchemar, jour après jour ; des chiens aux cros acérés le poursuivent, et ce sont les 26 chiens qu'il a dû tuer pendant la guerre du Liban.
    Ari Folman s'aperçoit alors qu'il ne conserve, lui, aucun souvenir, ou très peu, de cette période.
    Seul lui reste, un rêve, inexplicable, mélange d'hallucination et de - lointains - souvenirs forcément déformés.

    Valse avec Bachir, sur Arte
    Le personnage d'Ari Folman (à droite)

    Troublé, le personnage est amené à partir à travers le monde, à la quête de ses anciennes connaissances de la guerre, et de son service militaire, afin qu'elles l'aident à reconstituer sa mémoire. A sa demande, ses anciens compagnons lui narrent leurs propres histoires - à la manière d'un documentaire.
    En gardant à l'esprit que les souvenirs peuvent être déformés, voire totalement inventés par l'insconscient des témoins, et tandis que des fragments de souvenirs lui reviennent parfois par flash, Ari Folman découvre qu'il n'a peut-être pas été étranger à l'évènement d'un certain massacre (le massacre de Sabra et Chatila, 1982).

    Avec une bande-son savamment orchestrée, de fréquents retours en arrière dans la tête même des personnages interrogés, sans pour autant rendre le film trop lourd par l'évocation directe de la mort, de la peur, et des horreurs de la guerre, le film se base sur les questionnements du personnage face à son passé (n'attendez pas de révélation sur le massacre, ce n'est pas le but).

    Jusqu'à mercredi prochain en replay sur le site d'Arte à cette adresse (82 mn) : http://videos.arte.tv/fr/videos/valse_avec_bachir-6344064.html

    Extraits :

    - Extrait 1 (arte).
    - Extrait 2 (arte)

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  • Je me coupe un bout de fromage de chèvre. Un peu dur !

    J'appuie un peu plus.

    Crac !

    Mon fromage de chèvre voltige sur mon lit.

    C'est le deuxième couteau qui se rompt !

    Tant pis, je l'utiliserai comme ça

    Il m'en reste encore 4 d'intacts...

    PS : c'est nul, je voulais mettre une vidéo de la Grande Vadrouille avec la scène entre Bourvil et Marie Dubois (« J'en ai marre, marre, marre. - Moi aussi j'en ai marre !"). Dommage, elle n'y est pas !

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