• Plantons le décor.

    Mercredi après-midi, dans un amphi (un vieux, un de ceux avec les sièges encore confortables et à l'assise matelassée mmhhhmhh...).
    Matière : Initiation à l'algorithme et aux outils informatiques usuels.
    Comme dans quasiment toutes les matières en amphi, il y a deux créneaux horaires pour chaque cours, car il faut répartir tous les étudiants qui sont trop nombreux pour être réunis dans un même amphi pour un cours unique.
    Donc, un cours est équivalent à 2 créneaux de cours en tout dans la semaine.
    Normalement, un créneau nous est attribué en fonction du groupe auquel on appartient. Seulement, il arrive (de plus en plus souvent au cours de l'année, il faut avouer :-P) qu'on décide de notre propre chef de se rendre au créneau de cours qui ne nous est pas destiné (au niveau du n° de groupe) pour éviter de devoir se rendre au créneau (qui nous était destiné mais) qui nous arrange le moins. Mais on suit le même cours.
    (vous suivez ?)
    Ce qui faisait qu'en géologie, au premier semestre, le cours du mercredi midi était bondé. Et celui du soir, je ne sais pas, vu que du coup, je n'y étais pas !

    Premier cours d'algorithme de la semaine cet après-midi.
    On décide, plutôt que de devoir débarquer pour le deuxième cours vendredi matin à 8 h, d'enchaîner avec le second cours d'algorithme (qui à l'origine, n'est pas destiné à nos groupes respectifs, vous l'avez compris, mais c'est pas grave).
    Comme ça, on aura le droit de dormir un peu , et ça m'évitera de me lever à 6 h et quelque (c'est toujours ça de pris ;-) !).

    Donc, on se quitte après le second cours tout contents...
    D'ailleurs, jusque là, tout s'était bien passé quand nous avions assisté à un autre amphi (notamment en géologie et en biologie végétale ; on déjeunait en vitesse entre deux cours, comme ça on rentrait plus tôt chez soi le soir pour travailler).

    Bon.
    Sauf que là, on s'installe, le professeur lance la diapo... euh, tiens, c'est un truc qu'on n'a pas vu ça ?... comment ça, c'est la diapo numéro soixante ? ah, mais il y a un problème là, on avait, à la fin du cours précédent, près d'une trentaine (au moins) de diapos de différence avec le monsieur !
    Donc, on a suivi un cours (qu'on a réussi à comprendre, ouf !), mais on a un léger "trou" dans nos notes entre le premier cours qu'on a suivi et le second.

    Une solution consisterait à se rendre à son cours "habituel" (comprendre, celui avec le bon créneau), mais bon...

    Donc, là, je me tâte. Savoir si j'y vais ou si j'y vais pas. Si j'y vais (mais je risque de dormir pendant une bonne heure une fois que la partie du cours manquée sera notée, et me lever à 6 h et quelques poussières), ou si j'emprunte les notes de quelqu'un d'autre...

    D'ailleurs j'ai reçu un SMS de quelqu'un d'autre qui se tâte...

    - Tu tentes l'algo demain matin ?

    - (moi) Je me tâte...
    - (moi) Tu y vas toi ?

    - Je sais pas ! Je serais tentée !

    J'ai comme dans l'idée que ça va se finir avec une espèce de de deal "J'y vais si toi t'y vas" .

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  • MTU : méthodologie du travail universitaire.

    (il s'agit d'un vieux billet que je n'avais pas publié)

    Nos deux premiers « cours » de MTU du premier semestre, c'étaient des amphis. Fonctionnement du cerveau, de la mémoire, avec le « big boss » de MTU de la fac. Style un peu grinçant, mais bon.

    Après, on a eu nos TD, avec un autre prof.

    On a successivement abordé plusieurs thèmes : travail de groupe, recherche à la BU, prise de notes, gestion du temps (dont j'avais un peu parlé ici : article), puis l'explication du déroulement d'une présentation orale.
    Cette dernière consistait à faire un speech de 3 minutes sur, en gros, en quoi nous ont aidé (ou pas) nos TD de MTU dans le cadre de nos études.

    Soit dit en passant, pour être honnête, ça ne nous a pour la plupart pas servi à grand chose... Pour prendre un exemple, avoir un cours sur la prise de notes une mois et demi après le début des cours, juste pour apprendre qu'on peut s'aider d'abréviations, qu'on ne peut ni ne doit pas tout recopier de ce que dit un professeur ("écoute active" => écouter, synthétiser, puis écrire... sauf qu'en réalité, une fois qu'on a pris le temps d'écouter et de synthétiser, puis seulement d'écrire, on a déjà loupé la suite...), que le débit d'une personne qui parle normalement est de 150 mots / minute et qu'on ne peut écrire que 30 mots / minutes, ça relève plutôt de la récréation que d'un réel cours...
    Et je ne sais pas comment je fais, mais me concernant, j'écris tout ce que le prof dit (sauf quand c'est une évidence par exemple, ou un résumé - ou de la... MTU ! -, auquel cas ça dépend). Je n'ai pourtant pas l'impression d'être une Speedy Gonzales de l'écriture, mais bon...
    Je me questionne encore sur la véritable utilité de ce sujet en MTU 

    Mais j'aimais bien ce cours à cause de la sympathie du prof, parce que c'était une matière qui ne demandait aucun travail chez soi, et enfin parce que ça faisait une coupure dans la matinée de la journée la plus chargée de la semaine ... (qui plus est, c'est une matière où il est très simple d'obtenir une (très) bonne note !)

    Le prof de TD de MTU avait toujours deux ou trois anecdotes par cours à placer ; moi j'aime ça, quand les profs nous montrent que non, ils ne font pas que leur boulot d'enseignant, mais qu'ils donnent aussi un peu de leur personne (-alité ?) Comme le professeur de biologie cellulaire qui fait du mime (oui, il fait du mime ).

    Pendant qu'il reparlait de la séance en amphi sur la mémorisation, notre professeur de MTU nous a raconté que faire des fiches étaint une bonne excellente méthode pour apprendre.
    Moi j'veux bien, mais bon, je voulais pas en faire, parce que j'avais pas envie un jour de croûler sous les fiches non plus... et que mon ordi me suffisait. Bon, ce semestre-ci, ça a un peu changé.
    Et il a eu des anecdotes marrantes, surtout sur les différences filles-garçons.

    Il nous a sorti que les filles étaient les pros des fiches (si, si, « d'expérience » qu'il a dit).
    Et que les garçons étaient les pros du photocopiage de fiches de filles .
    D'ailleurs, lui même a paraît-il des cartons entiers de fiches de filles. Ceci dit, l'histoire ne dit pas pourquoi il ne les a pas balancées depuis le temps... peut-être que - comme d'autres -, il a horreur de jeter car il se dit tout le temps : ça peut toujours servir (sur l'air de "Un jour, mon prince viendra"...) ?

    Encore, il nous a dit que les filles ne pouvaient s'empêcher de coller trois tonnes de couleurs différentes pendant leur prise de notes (une couleur pour un titre, une autre couleur pour un sous-titre, encore une autre couleur pour un sous-sous-titre...) alors que les garçons faisaient plus dans le monochrome.
    (c'pas vrai d'abord, mes notes sont ULTRA monochromes, y'a des trucs qu'on m'aurait cachés ?).

    Là, je ne peux qu'approuver .

    Lorsqu'un professeur annonce le titre d'un chapitre, c'est...

    Schlic ! chlack ! schproumph ! retournement de trousses, chute de stylos, règles...
    Par ce qu'il faut reconnaître qu'il est particulièrement vital, bien évidemment, de souligner en plein amphi le titre de la troisième sous-section, qui plus est d'une autre couleur que le trait du titre de la deuxième section lui différent de... enfin bref, vous avez compris.
    Le tout générant un brouhaha continu de 10 à 20 secondes, pendant lesquelles, évidemment, le professeur ne peut pas parler (on ne l'entendrait pas !) .

    Mesdemoiselles, si - vraiment !- vous voulez utiliser des couleurs , optez pour ça, enfin !

    Stylo 4 couleurs

    Il y en a même qui font du rose fluo ! (si, j'en ai vu !)

    Sinon, contentez vous d'un crayon à papier pour écrire vos titres, vous les réécrirez proprement avec toutes les couleurs de l'arc en ciel si ça vous chante quand vous serez rentrées chez vous...

    (et soulignez vos titres chez vous aussi ).

    Sur ce, je vais recopier mon cours sur les algues .

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  • Hier voilà ce que j'étais en train d'écouter :


    (ce qui suit, vous n'êtes pas obligés de le lire, si ça se trouve, vous le savez bien déjà ^^)

    Dans la foulée, j'apprends concrètement qui est Claude Nougaro (il n'est jamais trop tard). Jusque là, tout ce que ça m'évoquait, c'était une émission de Des racines et des Ailes sur Toulouse, la Garonne,  je savais que c'était un chanteur, et qu'il était mort et voilà tout.

    Pour sa chanson Armstrong, Nougaro a repris l'air du chant Go down Moses, interprété par Louis Armstrong.

    Go down Moses est un chant de gospel ; il s'inspire d'un passage de l'Ancien Testament, l'Exode, durant lequel Moïse est envoyé demander au Pharaon de laisser son peuple partir.
    La chanson fut reprise par les esclaves, les Israël symbolisant les esclaves et le Pharaon les maîtres esclavagistes.

    Et je tombe sur cette interprétation :


    CC-BY SA - Auteurs : Les chanteurs de Montigny

    When Israel was in Egypt's land
    Let my people go
    Oppressed so hard they could not stand

    Let my people go

    Go down, Moses, way down in Egypt's land
    Tell ol' Pharaoh,
    Let my people go.

    Thus saith the Lord, bold Moses said,
    Let my people go,
    If not, I'll smite your first-born dead,
    Let my people go.

    Go down, Moses, way down in Egypt's land
    Tell ol' Pharaoh,
    Let my people go.

    J'adore .

    Et une version gospel :

    J'aime

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  • Noel Noël Christmas Navidad

    Myosine actine Noël histoire sarcomère
    Petit délire d'un 25 au matin...

    Paris statue pigeon
    Approchons...

    Pigeon statue paris

    Cathédrale nef
    (hum, c'est flou...)

    Poteau bouteilles
    photo prise au début de l'année.

    Sapin Noël décorations détail

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  • C'est les vacances !
    (cliquer pour agrandir)
    Vous pouvez voir (en vrac) : le chat Vanille, des trilobites, la cathédrale, la tram, du pain aux graines de pavot (qui est une tuerie - et pas cher en plus !), ma trousse de dissection, des Eugène(s) (les peluches en forme de chromosome) du Téléthon 2010 m(mais achetés en pour le Téléthon 2011), des volatiles naturalisés du Muséum d'Histoire naturelle, les escaliers de la résidence, un fleuve, un arbre vêtu de ses couleurs d'automne au Jardin des plantes, la BU, un lapin crétin dessiné sur un pupitre dans un amphi, une fouace, différents lieux de la ville, un Poulpy.

    ****   *****   ****   *****   ****   *****   ****

    Bon, là, ça y est, c'est les vacances ! Je n'avais jamais tant attendu des vacances (oui, oui ! et puis là, je veux revoir mon petit frère et ma famille, autant à la Toussaint j'ai presque eu du mal à revenir, que là non), mais là, le marathon s'achève, c'est la trève !

    Alors, pour vous mettre dans l'ambiance des fêtes, le personnel a installé un sapin de Nowel dans le hall d'un amphi tout neuf (parce que les autres, comme ils sont vieux et moches, bah, z'ont pas de sapin).

    Sapin de Noël dans le hall d'un amphi à l'université

    Et il est tout seul, le pauvre :-(.

    Dans ma résidence, il y a aussi un sapin, mais il a moins la classe :

    C'est les vacances !
    (et en plus la photo est floue !)

    Donc, mardi, c'était notre dernier jour de CC (contrôle continu).
    On est a un super groupe (oui, tous les L1 sont répartis dans une quinzaine de groupes de TD) qui s'entend bien et tout (si, si, tenez vous bien, il y a même eu un couscous de groupe !!! et on est passés à deux doigts du couscous de Noël ! ah ces jeunes ), et nous allons tous êtes dispatchés dans des groupes nouveaux (où on sera tout seuls ouiiiinnnn ;-) ).
    Du coup, on a décidé primo de fêter la fin de semestre (surtout), et deuxio de passer un moment ensemble (aussi).
    On s'est réunit pour aller au cinéma (parce que l'idée de départ, c'était la patinoire, puis ça a été la mer - bah oui, on n'est pas super loin paraît-il...), et pour certains de manger ensemble le soir. Bon, sur trente, on était 9 puis 6, mais bon, c'était bien sympa quand même . La moitié d'entre nous est allée voir Intouchables, l'autre moitié Happy Feet (semble-t-il l'histoire d'un manchot qui danse et qui chante apparemment - les filles en sont ressortis complètement... folles, elles étaient très drôles à voir ).

    Du coup, retour au bercail demain en train.
    Mais z'avant, chers amis, retirage de l'appareil dentaire !
    Je vais passer les fêtes de Noël débaguée, comme ma soeur.

    Et pendant ces vacances, je crois que je vais dormiiiiiiir beaucoup, (et manger aussi, si vous saviez comment - et quoi - j'ai mangé cette dernière semaine...)

    Regarder des Dvds, aussi, et bosser (juste un peu).

    Sur ce, je vais boucler mon sac, car demain je me lève à 7 h.

     

    Ici, même les bus souhaitent de joyeuses fêtes !

    C'est les vacances !


    (cliquer pour agrandir)

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